Les chroniques du Zéphyr

Bienvenue à vous, chers lecteurs et chères lectrices! Aujourd’hui, une certaine incertitude voile l’esprit de ce thème. C’est avec un brin d’excitation que je vous invite à découvrir l’hôte du jour : le doute. Vous savez, ce sentiment qui habite en chacun de nous sous diverses formes et qui meuble divers espaces. Pour certains, ce n’est qu’un léger brouillard facilement perméable à notre volonté de dépasser cette zone obstruée, alors que pour d’autres, ce mécanisme se dévoile sous la forme d’une muraille impénétrable, au risque de traverser des turbulences peu enviables. Dans un sens, ce doute est positif, car il nous invite à prendre un instant pour valider avec nous-même où nous en sommes à ce moment précis. Le piège est bien sûr de le croire jusqu’à le suivre dans une déchéance de scénarios loin de la réalité. Au contraire, on doit l’utiliser comme propulsion vers une action constructive et non comme un fardeau épeurant digne des plus grands films hollywoodiens. Pas besoin de vivre un « IT » perpétuel, n’est-ce pas? Vous voyez, le message revient encore à quelque chose d’essentiel. Vous seul pouvez savoir en profondeur ce qui est bon pour vous, car votre histoire et votre dictionnaire forment l’unique exemplaire qui existe. Même Gutenberg ne pourrait pas en copier l’essence! N’est-ce pas un cadeau extraordinaire? Nous avons toujours le choix de vivre l’incertitude collectivement ou de découvrir individuellement la certitude vers le bien de tous. À vous de voir, car après tout, je ne suis qu’un simple observateur qui a vécu bien des époques. Il serait bien impoli de ma part de vouloir m’imposer plus longuement. Au plaisir de vous voir planer au-delà de vos doutes, chers voyageurs du cœur!