Bonjour à tous!

J’espère que votre bien-être est en expansion, malgré l’effet de contraction illusoire autour. Avez-vous trouvé une astuce afin de découvrir des outils bien à vous pour vous sortir de ce cycle infernal de peur et de stress? Certaines des suggestions proposées vous ont-elles aidé? Car oui, il est possible de garder un bon moral malgré la grisaille qui s’installe dehors. Vous l’aurez remarqué, l’automne prend de plus en plus de place dans notre décor, une bonne chose nous indiquant que rien n’est permanent. Non point dans un but de s’accrocher à un espoir, mais de simplement reconnaître que tôt ou tard, une transition naturelle se fait dans toute chose. N’est-ce pas une belle leçon?

Pour ma part, je profite du moment pour mettre à jour le site Web et l’améliorer (que je vous recommande d’ailleurs d’aller voir!), dans le but de suivre l’effet de transition et de dévoiler une nouvelle couleur. Même si c’est un processus qui me demande beaucoup, malgré les doutes et mes peurs. Le tout revient à devoir faire un deuil de ce qui était précédemment, un peu comme l’été qui laisse sa place à l’automne. Ce n’est jamais facile de faire un deuil, car dans un sens, c’est accepter volontairement d’abandonner ou de perdre quelque chose. Nous avons souvent le réflexe de nous attendre à pire que ce à quoi nous nous accrochons à cause de nos blessures du passé. Pourtant, qui nous dit que cela ne pourrait pas être mieux? Un peu comme la situation actuelle, au-delà de l’illusion de contrôle extérieur, où nous avons un grand moment de liberté intérieure que nous pouvons saisir pour nous propulser. Ce qui est paradoxal, c’est que certains grands maîtres diront que les plus enrichissantes leçons sont apprises par l’échec et les erreurs. Nous vivons dans une structure où l’on veut nous imposer le contraire, n’est-ce pas un peu contre nature? Nous motivons les bébés à se dépasser, malgré les chutes et les défis, lorsqu’ils apprennent à marcher, mais une fois adultes, nous ne sommes récompensés que pour nos bons coups. Soyons fiers de nos défis, car ils sont là pour nous permettre d’avancer. Et c’est là que nous pouvons développer l’humilité, car chacun vit ses propres défis et sa réalité, dans laquelle chaque personne fait de son mieux, malgré ce que nous pouvons en penser.

Quel serait l’échec qui pourrait vous propulser le plus si vous changiez simplement votre façon de le voir? Parfois, nous l’avons attiré à force de nous entêter dans une direction qui n’était pas celle que notre âme voulait, ou encore nous n’avions pas toutes les connaissances nécessaires à ce moment. N’oubliez jamais qu’une vérité n’a de base qu’à travers une perception. Je commence à avoir certaines idées qui me trottent dans la tête et qui pourraient peut-être vous intéresser, vous ou certaines personnes que vous connaissez.

Je vous reviens sous peu avec d’autres nouvelles. Merci de votre temps pour cette lecture.

Écrit par : Jean-François Gauthier

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